5 traits uniques associés à la génération Z

La génération Z, autrement appelée Igen ou Zoomers, est cette cohorte démographique née entre 1997 et 2012. Ceux qui appartiennent à la génération Z ont été la première génération à être nés sans l’expérience de la vie sans technologie moderne et sont donc appelés «indigènes numériques». Grandir avec une exposition constante aux nouvelles technologies, ainsi que les médias sociaux, le climat politique des années 2010 et une pandémie sont conjointement responsables de la formation des valeurs de la génération Z. L’éducation de la génération Z a donc abouti à un groupe étonnamment perceptif et pragmatique d’individus avec des traits et des compétences uniques qui s’avèrent utiles dans un monde axé sur la technologie.

Bien sûr, la cohorte d’Igen a ressenti de nouvelles préoccupations que les générations précédentes n’ont pas encore affronté, comme la montée en puissance de la maladie mentale et la crise du coût de la vie. Cependant, tel est le cas avec toutes les générations passées et les gens plus âgés devraient examiner les générations futures avec une approche empathique et ouverte pour mieux comprendre les personnes qui continueront à façonner l’avenir de la société. Apprendre à comprendre les valeurs et les traits de la population de la génération Z aidera les amis, les familles et les employeurs à adopter les changements à venir.

Maintenant, cela peut sembler évident, mais ce que les chercheurs signifient vraiment lorsqu’ils parlent des avantages de grandir aux côtés de la technologie, c’est qu’ils possèdent une capacité inégalée à rechercher et à rechercher des informations sur les sites Web, les applications, etc. grâce à leurs compétences avancées de traitement numérique. Par exemple, selon le psychologue et associé de recherche, Ivan Brkljačić, « lorsque les membres de la génération Z ouvrent un site Web, ils« volent »à travers l’écran, en scannant des images, des symboles et des légendes, leur permettant de décider instantanément où cliquer avec la souris», selon une étude publiée dans les actes de l’IAC à Vienne 2022.

En plus d’être plus apte à naviguer dans les paysages numériques, la population d’Iigen connaît également le monde en ligne différemment des générations précédentes. Là où les milléniaux se souviendront de taper « G2G » (dû y aller), de se déconnecter et de quitter leur salle informatique avant le dîner, la ligne entre en ligne et hors ligne s’est complètement floue pour les jeunes générations. « Pour moi, en ligne et hors ligne sont une et la même chose, fondamentalement la même chose, intégrée », a expliqué un Gen Zer aux auteurs de « Gen Z, a expliqué: l’art de vivre à l’ère numérique ». Les effets à long terme de cette frontière désormais superflus doivent encore être pleinement étudiés, il est donc trop tôt pour dire que si les avantages d’une société couramment le langage de la technologie suffisent à l’emporter sur des inconvénients de la santé sociale et mentale.

Un autre avantage de grandir à l’ère numérique est la capacité de multitâche – ou multiplesécranpour être plus précis. La génération Z est habituée à jongler avec des tâches et à répandre leur attention entre les tablettes, les ordinateurs portables, les smartphones, les amis et les travaux scolaires. Ils utilisent souvent plusieurs écrans à la fois, maintenant des niveaux élevés de productivité dans un monde de distractions de poche. Cependant, cela mène à de sérieuses préoccupations concernant la qualité de l’interaction et de la connexion vécues par ces personnes, ainsi que le fait que le changement de tâches fréquemment peut réellement avoir un impact sur leur objectif.

Par exemple, l’attention indivis d’un genre zer pendant une certaine durée peut parfois être impossible, selon une enquête de 2019 menée par CINT pour le compte de Business Insider. « Quelque chose avec lequel ma génération a du mal, c’est qu’être avec les gens et être au téléphone en même temps est un énorme problème », a déclaré un participant à l’enquête. « C’est un énorme problème parce qu’ils font deux choses, mais ils ne sont pas vraiment engagés. » Bien que la possibilité de prendre des notes de classe tout en regardant simultanément le dernier épisode de votre émission Netflix préférée semble être une astuce utile, la question de savoir si cette forme de multitâche s’avère efficace ou bénéfique pour ces jeunes à long terme.

La cohorte de la génération Z est des consommateurs attentifs, mais pas nécessairement dans le sens où ils s’abstiennent de sur-consomme, mais en ce sens qu’ils sont sélectifs avec les marques et les entreprises avec lesquelles ils interagissent. Grandir face à la publicité hautement ciblée en ligne, ainsi que des compétences en littératie numérique, a conduit un groupe de consommateurs vocaux qui ne tiennent pas à partager leurs opinions et critiques des grandes marques qui ne s’alignent pas avec leurs valeurs sociales. Par exemple, une enquête de 2017 menée par Cone Communications a révélé que 94% de la génération Z estime que les entreprises devraient maintenir la responsabilité sociale des entreprises en montrant un soutien aux préoccupations sociales et environnementales telles que le changement climatique, la durabilité, l’équité raciale et la santé mentale (via Forbes).

Ce désir de changement social et environnemental influence les produits qu’ils achètent et les entreprises pour lesquelles ils choisissent de travailler. Pour la génération Z, les grandes entreprises peuvent et doivent résoudre ces problèmes plus importants et ils n’hésitent pas à appeler les chefs de marque qui ne s’alignent pas avec leurs valeurs. « Gen Z est définitivement très direct », a déclaré Megan Brophy, vice-présidente du marketing chez Abercrombie & Fitch, lors du Sommet de l’innovation en 2023 (via EMarketer). « Ils sont très transparents. Ils veulent la réalité. Ils veulent l’authenticité. » Leurs valeurs franc et leur demande d’une plus grande responsabilité d’entreprise ont eu un impact sur l’avenir du marketing, mais l’authenticité de ces marques et leurs soi-disant changements sont une autre question entièrement.

Certains individus croient que les genres mûrissent plus rapidement que les milléniaux, ce qui les rend beaucoup plus âgés que leur âge. Par exemple, une jeune femme a partagé une vidéo Tiktok pour expliquer comment quelqu’un la croyait quelque part dans la trentaine alors que, en réalité, elle n’avait que 23 ans. Des histoires similaires peuvent être trouvées en ligne avec de nombreux gens de la génération Z affirmant que leur génération «vieillit comme le lait». Certains attribuent ce vieillissement prématuré aux événements induisant le stress qui ont eu lieu au cours de leurs années formatrices ou adolescents, se référant à savoir la pandémie et la crise du coût de la vie, tandis que d’autres le font à la surutilisation de la surutilisation du rétinol et des améliorations cosmétiques.

@taylordonoghuee

Au revoir creuser ma propre tombe ne demande jamais aux médias sociaux ton âge lol

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Cela dit, certains experts nient complètement ce phénomène. « C’est biologiquement invraisemblable », a déclaré Dazed, le professeur Meredith Jones, théoricien culturel à l’Université Brunel London. Cependant, la participation à certaines tendances peut vous faire apparaître plus vieux. « Certes, les remplisseurs et le Botox peuvent faire en sorte que tout le monde soit le même âge – par exemple, Kris Jenner et Kim Kardashian ressemblent à des jumeaux dans leurs dernières photos Instagram », a déclaré le professeur Jones. « Beaucoup de travail cosmétique rend l’ancien plus jeune et, par défaut, les jeunes ont l’air plus âgés, car ils ont la même apparence. Donc, plutôt que de penser » oh, tout le monde a 25 ans maintenant « Nous avons tendance à penser » Oh, tout le monde regarde entre 45 et 75 « . » Par conséquent, les injections de « réglage » telles que le bébé Botox sont l’une des tendances de la génération Z que vous devriez ignorer si vous ne voulez pas avoir l’air plus âgée, avec du vapotage, qui n’est pas seulement mauvais pour vos poumons mais aussi dur sur votre peau.

Selon la boursière de l’Université de Stanford, Roberta Katz – le co-auteur du livre « Gen Z, a expliqué: l’art de vivre à l’ère numérique » – « une génération typique est un conducteur autonome qui se soucie profondément des autres, s’efforce d’une communauté diversifiée sur le travail qui doit être fait pour résoudre ces problèmes « (via le rapport de Stanford). En tant que tel, attirer l’attention et la fidélité des membres de la génération Z nécessite de sauvegarder les revendications et les idées avec des données concrètes. En raison de leur accès à diverses connaissances et aux connexions mondiales, les zoomers ont également grandi pour devenir des individus autonomes ayant la capacité de travailler en collaboration en cas de besoin.

« Pour ceux qui vivent maintenant la génération Zers sur le lieu de travail, mon conseil est de reconnaître que ces nouveaux collègues sont habitués à travailler en collaboration et flexiblement, en veillant à être efficace pour faire le travail. Ils sont pragmatiques et apprécient la communication directe, l’authenticité et la pertinence », a ajouté Katz. « Ils peuvent être plus susceptibles que les personnes âgées lorsqu’ils avaient l’âge des Gen Zers de remettre en question les règles et l’autorité, car ils sont tellement habitués à trouver ce dont ils ont besoin par eux-mêmes. » La propension à l’autosuffisance, en raison de leur accès illimité aux connaissances en ligne, se traduit par des personnes sensées avec une approche ouverte et non conventionnelle pour résoudre les problèmes et accomplir des tâches.